AccueilAccueil  
  • Dernières imagesDernières images  
  • MembresMembres  
  • GroupesGroupes  
  • S'enregistrerS'enregistrer  
  • ConnexionConnexion  
  • Bienvenue à Multivercity

    La porte des Enfers est maintenant ouverte...

    Le Deal du moment : -39%
    Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
    Voir le deal
    399 €

    Message par Diavoletto Winters Mar 30 Jan - 13:28

    WINTERS Diavoletto

    Feat. François Theurel

    ζ Surnoms — Letto - Sale [insérer insulte ici].
    ζ Âge — 32ans.
    ζ Date de naissance — 20 Août 1922.
    ζ Date d'arrivé à Multivercity — 13/12/2020
    ζ Orientation sexuelle — Pansexuel.
    ζ Statut Civil — Célibataire
    ζ Métier — Emmerdeur public, peintre à ses heures perdues.
    ζ Groupes — Just from flesh and bones
    ζ Crédit de vos images— Gif extrait d'un épisode de French Food P*n.

    Caractère & Pouvoirs

    Univers de provenance : Inventé.

    Caractère : Envahissant ζ Loyal ζ Addict ζ Empathique ζ Rancunier ζ Energique ζ Négligé ζ Souriant ζ Pervers ζ Compréhensif ζ Influençable ζ Créatif ζ Fier ζ Hyperactif

    Pouvoirs ou Objets conservé : Aucun.
    Pouvoirs perdu dans la traverse du portail :   Aucun


    Mon histoire

    Je suis un petit con, mais je me soigne

    Je m'appelle Diavoletto, abrégé en Letto, et je suis un bâtard du vent et aussi un sacré petit con parait-il...

    Je viens d'un clan de gitan, mais entre nous on s'appelle la Famille. Quand on passe son temps sur les routes, forcément y'a des rencontres brèves et parfois qui sème le vent récolte des tempêtes inattendues. Disons-le franchement, y'a quelques bâtards dans la Famille et j'en suis qu'un parmi les quatre. ça m'a jamais gêné, j'ai pas vraiment souffert de l'absence de mon père, le chef de la Famille était le père des bâtards comme moi, on était pas mieux ou moins bien traité que les autres. La Famille était un mélange sans drapeaux des quatre coins de l'Europe, sans patrie, sans noms de famille alors pourquoi pas sans parent ? Un parent biologique au fond c'était rien de plus qu'un donneur, c'était la Famille qui faisait notre éducation, c'était à elle qu'on était loyaux. Le sang et le vin ont la même couleur mais pas la même valeur... Les bâtards comme moi n'étaient pas mal vu. Entre nous on s'appelait comme ça, des bâtards du vent, parce que sonnait bien.

    Mon coup de vent, je sais pas grand chose de lui, il était canon. Il a séduit ma mère, puis on est partit et il n'a pas suivit pour l'épouser. Il avait un nom italien et il venait d'un pays où le soleil brillait sans arrêt et où, pour citer ma mère "l'odeur des fruits remplissait l'air". Je ne suis pas né là-bas mais j'aimerais bien voir ça un jour... Ma mère, elle est un peu excentrique, audacieuse, artiste dans l'âme elle a écrit des tonnes et des tonnes de bouquins qu'elle a vendu pour rien dans les rues par lesquelles ont passait. Elle a toujours été farouche comme une chienne des rues, elle n'hésitait jamais à jouer des poings si on l'importunait. Elle était belle, une grande brune pulpeuse à la peau dorée, avec des tâches de rousseurs couleur pêche sur les joues et le nez. J'en ai hérité. ça et ses yeux noirs. Pas étonnant que mon coup de vent en aie pincé pour elle. Même si apparemment, les autres bâtards m'ont soufflé que personne aurait crût qu'elle trouverait quelqu'un d'assez téméraire pour la sauter.

    Je suis la preuve que si.

    Ma mère s'appelait Lola, un nom tout simple, charmant et qui sonne bien et je sais pas d'où lui est venue l'idée à la con de me nommer comme ça. Diavoletto signifie "petit diable" en Italien, je comprends pourquoi l'italien mais "petit diable" ?! A l'époque j'étais encore en vie, quand je suis né : j'étais un bébé comme les autres, je suis sortis par le même trou par lequel on m'a fait rentrer ! Mais j'ai la bougeotte, c'est vrai, je m'arrête jamais. Même dans son ventre je tabassais sans arrêt ! Mais bon, pas que ma force de moucheron eût fait le moindre dégât, je crois que je voulais juste faire savoir que j'étais là. On a dût me concevoir pour se tenir chaud durant une nuit d'hiver car je suis né pendant l'été en 1922, remuant et frétillant comme un poisson hors de l'eau, impatient de commencer ma vie.

    Ma vie je l'ai adorée, je suis le genre de gars qui brûle la chandelle par les deux bouts, mais je me sers aussi de la tige pour m'en faire un putain de collier.

    Rien ne me suffit. Au final je comprends pourquoi "petit diable" ma mère devait être voyante, ou bien c'était le destin.

    Il m'en faut toujours plus. Je déteste l'ennui. Je ferais n'importe quoi pour pas m'ennuyer et quand on est jeune y'a quelques trucs qu'on peut faire quand on s'ennuie : des conneries. J'en ai fait mon lot ! Je traînais avec les fils de pute de la Famille, la pute c'est Roxanne, la plus belle des putes de toute l'Europe ! Eux aussi c'était des bâtards du vent, on était fait pour aller ensemble. Les trois avaient hérités de la beauté de Roxanne, elle avait tiré les bons lots. Quittes à se faire engrosser autant espérer que les rejetons ne soient pas laids et elle s'en est bien tirée la Roxanne ! Trois jolis bâtards venus agrandir la Famille en quelques années ! Je ne dénote pas dans le tableau, ma mère est canon comme je l'ai dis et d'après elle j'ai hérité aussi de mon coup de vent. J'ai tiré un bon numéro dans la loterie génétique. La plus part du temps, avec la bande, on trainait où bon nous semblait, tant qu'on ramenait pas des emmerdes à la Famille tout allait bien. Pour pas ramener des emmerdes quand on aime faire des conneries, le mieux, c'est de ne pas se faire choper.

    ça a dût nous arriver quatre ou cinq fois, sur toutes les conneries qu'on a put faire.

    Les conneries, elles grandissaient avec nous, et les autres bâtards ce sont assagis quand la grogne a commencé à monter dans plusieurs pays, que les germes de la guerre fleurissaient partout. Le chef nous avait mis au parfum : il fallait se tenir tranquille et ne pas se faire remarquer. Un certain parti allemand ne nous portait pas dans leur cœur et la moindre occasion serait bonne pour nous rafler et nous envoyer dieu savait où... à cette époque là, ils avaient encore besoin de prétexter une raison pour éviter un soulèvement populaire.

    Plus tard, il n'y aurait plus besoin de raison autre que celle d'être Gitan ou juif...

    Le chef m'en a parlé, ma mère m'en a parlé. Il fallait se tenir à carreau et j'ai essayé... Mais j'ai foiré.

    A un moment il a bien fallut qu'on se rende utile, la Famille était nombreuse et c'était autant de bouche à nourrir ! Diego, le plus vieux des bâtards était aussi le plus gringalet, après moi, mais il ressemblait à une fille c'était suffisant pour qu'il reprenne le métier de Roxanne. Rafaël lui c'était un bon, un gars costaud, le chef l'a prit sous son aile pour en faire un des piliers de la famille. Quant à Ruben et moi... et bien on avait pas de talent particulier, du moins c'est ce qu'on croyait. Comme je l'ai dis, j'ai une force de mouche et Ruben se péterait tout les os en soulevant un sac de plumes. Quand ça bastonnait avec des étrangers à la Famille, on était ceux qui balançaient les projectiles. Quoi que... j'étais bon aussi pour donner des coups de pelle.

    On s'est vite rendu compte que le talent de Ruben était dans sa tête et dans sa langue, il savait parler, il savait capter l'attention, la retenir, captiver une audience, il restait plus qu'à trouver quoi offrir à cette audience ! Un truc monnayable ! C'est ma mère qui m'a donné le déclic nécessaire : un jour elle m'a refilé une toile, des pinceaux et de la peinture.

    J'ai vite balancé les pinceaux.

    J'adore toucher les choses, je touche à tout. Tout ce qui tranche, qui colle, qui gratte, qui brûle, doux ou rugueux, agréable ou irritant, je touche tout. J'ai besoin de tout toucher, j'ai besoin de gigoter. Quand j'ai plongé mes doigts dans la peinture fraîche, je n'ai même pas réfléchis et j'ai commencer à tracer. Mon premier tableau était une croûte hideuse, sans réelle forme ou inspiration mais ma mère allait m'encourager à recommencer, sans les pinceaux cette fois, et j'avais adoré cette expérience.

    J'ai adoré l'odeur du gasoil que j'utilisais pour laver mes mains.

    Le chef aussi m'encourageait à peindre et je m'y jetais à corps perdu pour m'empêcher de faire des conneries... Chassez le Naturel, il revient au galop, la peinture est devenue une connerie de plus à faire... J'aurais voulus être capable de m'arrêter mais quand je voyais un mur de mairie blanc immaculé, qu'il faisait nuit et qu'il n'y avait personne autour... Alors j'étais inspiré pour dessiner Hitler dans son plus simple appareil...

    Au moins maintenant, en rentrant, je prévenais le chef et ma mère de ce que j'avais fais et on bougeait dans la nuit avant que ça ne soit remarqué. Je me prenais des salves de discours de sa part, me traitant de crétin inconscient, je le savais tout ça. Je savais que je nous attirait des emmerdes. Je pouvais juste pas m'arrêter, je les trouvait provocateurs et je ne faisais que leur répondre.

    De la pire des façons mais au moins je répondais, c'était ce dont je me persuadais.

    C'est un jour alors que notre camps avait été prit pour cible la veille que je me suis fais gauler entrain de repeindre une croix gammée. Mais je me suis pas fais gauler par la gestapo ou les fachos, juste par une autre emmerdeuse, comme moi. Nelly, une petite française de bonne famille venue s'encanailler et assoiffée de liberté. On est vite devenu cul et chemise et deux nous deux, je préférais que ce soit elle le cul parce qu'en plus elle était mignonne et pas conne ! On a passé la soirée à peindre comme des dingues en gloussant comme des dindons, quand le danger s'approchait de trop près, on filait comme le vent se cacher et on revenait finir le travail d'une main vengeresse et provocatrice. Putain qu'est ce qu'on s'est éclaté ! Quand la nuit tombait et qu'elle risquait pas de se faire emmerder, je l'emmenais avec nous au camp. Maman l'adorait. Elle lui faisait parfois la lecture mais le plus souvent on passait la soirée à peindre où à se marrer, voire les deux. Et cette fille... Elle avait pas froid aux yeux. Elle avait qu'à ordonner j'aurais tout fait pour elle, j'étais enroulé autour de son doigt, plus fort qu'une alliance, et je ne comptais jamais briser mon serment.

    Cette nana foutait le merdier où elle allait, et je l'adorais pour ça. La raison pour laquelle elle faisait ça, je m'en foutais, tout ce qui comptait c'était les actes : la rébellion. Pour moi, Nelly c'est comme une fleur qui pousse dans un désert, ou un arbre qui fend la pierre en deux. Elle a l'air fragile, mais si tu t'y trompes elle te fracassera.

    Et si quelqu'un essaye JE le fracasserais à coups de pelle.

    Les gens venaient et payaient pour me voir peindre et peu à peu je devenais doué, Ruben alpaguait les gens, et discutait avec eux, il faisait le charmeur et moi je donnais le spectacle. ça m'arrivait souvent de balancer le fond de mes seaux, de jeter, d'éclabousser, mes vêtements étaient intégralement recouverts de peinture et mes mains étaient niquées à force, mais j'en avais rien à cirer, peindre c'était trop bon. Et en plus y'avait un certain genre de peinture qui payait bien !  Les portraits. Les gens aiment qu'on les peigne, j'ai découvert ça quand j'ai peins une des clientes un jour et elle a acheté le tableau. Je me suis spécialisé dans les portraits, mais hors de question que ce soit des portraits chiants ! Non je peignais les gens comme je les voyais : un mélange de couleurs chaotique et explosif, je traçais avec mes paumes mes doigts, ma main entière, je griffais pour faire des cheveux ou des cils, mes pouces arrondissait des nez, des prunelles, le bord d'un menton trop pointu. J'en ai dessiné des centaines et des centaines... Le plus souvent ça se vendait bien, et il m'arrivait même que les jeunes femmes de bonne famille veuillent "me remercier" après mes œuvres. J'ai vite compris leur intérêt : l'exotisme d'un gitan c'était affriolant pour leurs petits jupons de dentelles...

    J'y ai trouvé un nouvel intérêt. J'avais de nouvelles choses à toucher. Nelly m'a fortement encouragé dans la démarche et m'a même apprit un paquet de trucs histoire de savoir faire quelque chose de mes dix doigts avant de descendre une culotte...

    A force de voir Ruben a l'œuvre, j'ai finis par copier ces méthodes et ça marchait bien ! Même plus besoin de peindre parfois ! Mes explorations ne s'arrêtaient jamais, je m'assurais de dormir chaque nuit dans les bras d'une femme. Sinon je ne dormirais pas du tout, j'étais trop vieux pour dormir avec ma mère et depuis que j'avais quitté la chaleur de ses bras je dormais peu, voire pas du tout. Faire des conneries m'avait arraché à l'ennui et au sommeil, maintenant c'était la peinture et la luxure. Il m'est même arrivé de mélanger les deux pour un résultat très particulier et satisfaisant...

    Un peu trop voyant malheureusement...

    Je déteste dormir, sauf avec Nelly. Quand elle est là je suis calme. Je déteste dormir tout seul. Si je n'ai rien a toucher, rien à faire, aucune tâche sur laquelle me concentrer alors cela se produit. Cet espèce d'état second où l'ennui domine toute ma tête et où un vide abyssal me remplit la poitrine. Je ne sais pas pourquoi ça m'arrive. Je n'en ai parlé à personne, même pas aux bâtards... J'ai à peine osé en parler à Nelly... Je ne veux pas y penser. C'est pas mon genre de dire ce que je pense même si je pense tout ce que je dis... Ce vide, je le déteste. Si je peux, je l'empêche de s'installer. Si je ne peux pas peindre, je baise. Si je ne peux pas baiser, je peins. Si je ne peux faire ni l'un ni l'autre, je bois.

    J'étais pas fait pour vivre vieux.

    Je ne sais pas de qui j'ai hérité cet amour du danger, mais rien ne me faisait jamais vraiment peur. Rien à part mon vide. Tout le reste n'était qu'amusement, adrénaline, frissons, actions ! Se faufiler de nuit vers une maison du parti Nazi, peindre dessus, se faire choper, fuir la maison en courant la cagoule bien enfoncée sur la face, se faire traquer par des chiens et canarder de coups de fusils. Il m'est arrivé de prendre du plomb dans le cul ou dans les cuisses...

    ça m'a pas arrêté. Du moins, pas pour toujours, il a bien fallut me soigner et pendant ce temps j'étais au camps. Paisiblement. Le temps de ma guérison a été long parce que ça continuait à s'infecter, je n'arrêtais pas de bouger, je ne laissais pas guérir. Mais au moins, je ne faisais plus de conneries et le plomb m'avait passé la bride assez longtemps pour se faire oublier paisiblement pendant plusieurs mois...

    On ne faisait que m'éloigner jusqu'à ce que ça se tasse. On m'a vite oublié, mais le reste ne se tassait pas. Les Nazis avaient encore gagnés en partisans, le temps des vols de bonbons étaient révolus, si je continuais comme ça je risquais de faire tuer quelqu'un. De me faire tuer. J'ai encore essayé d'arrêter... j'ai essayé de toutes mes putains de forces. Je me suis seulement fais plus discret... J'avais une putain de chance insolente, elle n'allait pas durer toujours mais je l'ai serrée, j'en ai extrait tout le jus pour continuer jusqu'à ce qu'il n'y aie plus rien. Mon besoin d'emmerder le monde avait prit un sens, on s'en prenait aux gitans et je les emmerdais en retour. A défaut d'arrêter, j'avais mis ce besoin en faveur des miens. Quittes à me faire tuer, je voulais en tuer au moins un là-bas.

    J'ai fais ce que j'avais à faire, j'ai embrassé ma mère et j'ai dis au Chef que je partais. J'allais les faire tuer avec moi et ils m'étaient trop fidèles pour me renier. C'était moi qui devait partir, cela devenait de plus en plus dur de se déplacer, de plus en plus dur de me contenir. J'étais bien conscient de mes actes destructeurs et je ne voulais pas qu'ils détruisent la Famille, je les quittait pour leur rester fidèle. Le Chef m'a enlacé comme un fils, m'a remercié, je lui aie fais jurer de prendre soin de ma mère. Il m'a confié son couteau et sa plus grosse valise, je suis partis de nuit. Emportant mes galères avec moi et l'attention s'est détourné d'eux. Pour quelques temps au moins...

    Ce n'était plus que Nelly et moi.

    Quand Nel' a perdu la vue, je suis resté près d'elle, encore plus près, pour être sûr qu'elle n'oublie pas que j'étais là. Elle était déprimée anéantie, et comment ne pas comprendre, j'aurais aimé que la Famille l'adopte, maman était d'accord en plus, mais ça aurait été plus dangereux pour elle par les temps qui courraient... Mais Nel, c'est pas le genre de femme qui baisse les bras où qui part se jeter sur un lit pour chialer. Nan, Nel, c'est le genre de femme qui déclenche les bombes même sans rien voir. Qui déjoue les tours alors qu'elle galérait à nouer ces lacets ! A chaque fois j'étais un peu plus impressionné par son talent à toujours se sortir de la merde, je l'y avait entraîné si souvent et sans y elle j'y serais resté plus d'une fois. Ou bien j'y aurais laissé des morceaux. A sa place j'aurais pas tenu deux jour, je suis déjà trop con pour marcher droit quand le soleil se couche et que j'ai plusieurs grammes dans le sang...

    Je suis mort stupidement. On avait encore bougé, l'avantage d'être toujours sur les chemins c'est que les ennuis nous suivaient rarement. Mais mes ennuis, je les trimballais avec moi, en moi, j'y entraînais les autres, même ma mère ne pouvait pas m'aider. Elle n'en savait rien... En y repensant, j'aurais dû lui demander. Je savais que ce que je faisais n'aidait en rien, que je ne faisais qu'éviter un problème dont j'ignorais tout. Mais justement, j'ignorais pourquoi je me sentais si seul au fond... J'ignorais pourquoi je me sentais si triste. Si vide. Si abandonné. Je ne savais pas ce que je cherchais, ni même si je cherchais quelque chose, comment aurais-je pus demander de l'aide ou deviner ?

    C'était plus facile d'explorer des kilomètres de peau, de dévorer toute la chair qu'on m'offrait et de prendre mon plaisir partout où je pouvais. Quand je remplissais ou que j'étais plein de quelqu'un : le vide n'existait plus. Quand je peignais le vide n'existait plus. Avec Nelly le vide ne pouvait pas entrer. Je ne tenais que sur les nerfs, l'alcool et un sacré paquet de saloperies qu'on me vendait comme des médocs. Des drogues, efficaces contre le sommeil. Mais je ne savais pas gérer ça, je ne savais pas que le mélange était aussi explosif, mais même si je l'avais su : j'aurais mélangé quand même.

    J'ai fais le trip de ma vie.

    Et j'en suis mort.

    Du moins c'est ce que je croyais, mais apparemment je suis vivant. La date n'est pas la même, la ville n'est pas la même et Nelly n'est plus là.

    Qu'est-ce que je fous là ?


    Joueuse

    Derrière l'écran

    ζ Pseudo— Anye Mama Wolf.
    ζ Age / Pays— 27 ans, France.
    ζ Vous avez connu le forum comment—Corruption de Carotte.
    ζ Un petit mot—Sometimes, Kindness is enough. Also YOLO.
    Message par Yelena Belova Mar 30 Jan - 14:21

    Bienvenue sur Multivercity

    de tout l'équipe du Staff.

    (Re)bienvenue avec ce nouveau perso, ça fait trop plaisir de te revoir parmi nous ! En espérant que tu t'amuseras bien. Hâte de voir ce monsieur en jeu !

    Tu possèdes un délai d'un mois afin de compléter ta fiche de présentation. Une fois ce délais dépassé, ta fiche sera placée dans les fiches en danger et il faudra demander un délai pour compléter la fiche. Lorsque ta fiche sera complétée nous t'invitons à nous aviser dans le sujet suivant.

    Si ce n'est pas déjà fait, nous t'invitons à lire les sujets qui sont regroupés dans la section Notre Univers ainsi que ceux des bottins, afin de déterminer tes options dans la création de ton personnage.

    En plus du forum, nous avons un discord que tu peux joindre juste ici afin de discuter avec les membres pour tes questions, futurs liens et autres. Si tu préfères ne pas joindre le discord mais que tu as une question, n'hésite pas à mp un membre du staff ou aller dans le coin membres ! Au plaisir te savoir sur le forum


    The girl
    in the spider web
    Let's cause a little trouble


    Moodboard:
    Message par Beatrice Mar 30 Jan - 14:33
    De sage parole ! YOLO !!! Ahahah

    RE-Bienvenue parmis nous, je sais que retrouver l'envie de Rp n'as pas été simple ayant moi même passer par là auparavant. Je te souhaite de trouver le bonheur a Multivercity et d'y vivre pleins d'aventure diverse et plaisante. J'ai hâte de te croiser de nouveau en jeu. Je suis HEUREUSE de te voir de retour love0046 love0046 love0046 love0046 876313731 876313731 876313731 3146204741 3146204741 3146204741 682744128 682744128 682744128


    to God."

    Message par Peter Pan Mer 31 Jan - 4:52
    Re-bienvenue I love you !
    Message par Entité Jeu 8 Fév - 7:16

    Les corrections à faire pour une validation

    Requise par le Staff.

    Ta fiche est très bien, il y a juste deux petit soucis,

    - la date d'arrivée, je pense que c'est peut être une erreur de frappe, mais une arrivée en 2020 n'est pas possible, le premier portail à ouvert le 13 novembre 2022

    - pour les bottins, c'est le pseudo du personnage que nous demandons, pas le pseudo du joueur ^^ tu as également mis une autre date d'arrivée dans le code du bottin

    N'hésite pas à nous fais signe quand c'est corrigé



    KoalaVolant
    Message par Contenu sponsorisé

    Reponse rapide

    Permission de ce forum:

    Vous pouvez répondre aux sujets dans ce forum