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Natasha Romanoff
MCU
Côté Coeur : Une certaine ancienne directrice du Shield pour ne pas la nommée.
Localisation : Les alentours
Emploi/loisirs : Propriétaire de SafeHaven en plus de bosser pour faire chier les méchants.
Messages : 55
Points rp : 81
Date d'inscription : 04/01/2023
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par Natasha Romanoff Ven 6 Jan - 7:35Years past, but i still remember you
Yelena & Natasha
Le temps était changeant dernièrement. Le matin se levait avec un beau soleil chaleureux pour devenir venteux alors que la pluie frappait le sol avec acharnement. Des sales jours où ironiquement je me trouvais à devoir travailler à l’extérieur pour une raison ou une autre. Cette journée m’avait d’ailleurs épuisé plus que je ne voulais l’admettre. Devoir faire de la surveillance sous couverture était toujours épuisant. J’avais dû suivre un pseudo chef d’entreprise afin de découvrir son emploi du temps alors qu’il se trouvait dans son usine en train de crier des injures après de pauvres employés. Se débarrasser de ce type était urgent comme il faisait beaucoup de contrebande en tout genre alors d’armes à la drogue voir même d’enfants. Je ne pouvais donc pas prendre une journée de congé en sachant qu’il était possible que des enfants se fassent tuer ou pire si je n’intervenais pas rapidement et le mettait hors jeu. J’étais très consciente que ce que je faisais était dangereux. Il n’était pas le premier que j’attaquais depuis que je m’étais réveillé dans cet endroit et ils ne serait sans doute pas le dernier, mais pour l’instant sa chute me rapporterait assez d’argent continuer à améliorer SafeHaven dans le but que je puisse justement mettre ma carrière d’assassin derrière moi. Au moins, ceux que je neutralise étaient dangereux pour la société. Je ne tuais pas toujours mes cibles. Si je me sentais d’humeur joueuse, je les offrais aux autorités en sachant très bien que j’allais devoir revenir pour finir le travail proprement… ou faire en sorte que quelqu’un qui le détestait assez règle le problème à ma place même si en général j’évitais le plus possible les meurtres de nos jours.
Enfin bref, cet homme était d’un narcissique qui ferait passer Tony Stark pour un enfant de cœur. Il prenait un malin plaisir à faire de la vie de ses employés un vrai calvaire de toute manière possible, ce qui me donnait encore plus envie de le pendre au bout d’une corde à la fin. Je ne vous parle pas de ses manières avec son assistante. La pauvre femme ne méritait clairement pas d’être traîté ainsi. Encore un autre homme qui pense qu’une belle femme ne peut pas être chose qu’être un fichu trophée à un bras. Je m’étais donc tapé de le suivre dans un terrain désagréable sous la pluie sans parapluie parce que j’aurais sans doute attirer l’attention sinon. Ce fut assez facile au final de pouvoir obtenir ce que j’avais de besoin afin de faire un plan pour me débarrasser définitivement de ce sale type. S’il pensait pouvoir s’en sortir sans punitions, il se mettait le doigt profondément dans l'œil. Mon retour dans les locaux qui me servait de façade pour mon entreprise mais aussi comme maison avait été rempli de grognements et de plusieurs regards qui voulait clairement dire de ne pas m’approcher au risque de se faire mordre. J’étais de mauvaise humeur et pas un peu. J’avais délaissé mes habits professionnels pour quelque chose de plus simple.
Pour combler le tout de cette si belle journée, j’avais dû faire la file pendant un bon moment pour pouvoir me procurer un café chaud. Je m’étais retrouvé avec la mauvaise commande, deux fois plutôt qu'une, et mon prénom écrit n’importe comment. C’était le signe que je devais retourner chez moi avant de tirer sur quelqu’un pour une connerie quelconque. Ça aurait pu finir là, mais non. La vie aime bien m'emmerder aujourd’hui il faut croire. J’ai soudainement eu un sentiment que je n’avais pas eu depuis longtemps. Le sentiment familier d’être observé par quelqu’un voir même suivit alors que je me promenais dans la foule. C'était la première fois depuis bien des années, depuis que j’étais en pleine cavale après le gâchis de Tony et Steve. D’un côté, je suis rassuré de savoir que mes sens sont toujours aussi alertes, mais d’un autre, je n’aime pas du tout l’idée que quelqu’un pense pouvoir me suivre sans que je m’en rende compte. Amateur. J’ai beau être une veuve à la retraite, si on peut l’appeler ainsi, je suis toujours une veuve malgré tout.
Alors que je marche dans la foule, je lève la capuche de mon manteau dans une tentative de m'obscurcir le visage tout en me protégeant de la pluie qui a commencé à tomber. Les habitudes d'une ancienne espionne refont surface comme une seconde pas alors que je marche d’un pas contrôler tout en évitant gracieusement d’entrer dans qui que ce soit afin de ne pas perdre mon avance sur la personne qui me suit. Il me faut plusieurs minutes avant de trouver ce qui me semble l’endroit idéal pour me faufiler en sachant très bien que cette personne me verrait y aller et va me suivre. Je suis un peu évidente, mais juste un peu. Il faut bien que je lui donne une chance de me suivre si je veux pouvoir le, la, les face à face. Je me déplace rapidement dans la ruelle, prend un escalier de secours pour monter au dernier étage où j'ai repéré une fenêtre ouverte. Je connais assez le quartier pour savoir que cet immeuble en particulier est connu pour être un squatte de sans abris et donc vide de toute personne sauf des clochards qui se sauveront comme des souris si confrontation il y a. Le dernier étage est sombre et rempli de recoins, de toiles et d’objets en tout genre laissés là par les anciens résidents. Parfait. C’est un bon nombre d'objets derrière lequel je peux me cacher.
Sans attendre, je me glisse le long d’un mur sortant l’arme de poing que je porte toujours sur moi. Je préfère être trop prudente que pas assez. J’entends de très faibles pas. Peu importe qui me suit, cette personne sait être discrète et il ou elle n’est pas à prendre à la légère. Ce qui me rend quelque peu nerveuse. Ça hurle emmerde tout ça. J’essaye de rester alerte tout en tentant de voir les options de sortie. Une autre fenêtre, risqué, mais faisable surtout que le bâtiment d’à côté n’est pas si loin. Un escalier pour le second étage est aussi à considérer. Deux options, c’est toujours mieux que rien. Je contrôle ma respiration tout en écoutant et restant complètement alerte. Dès le moment où mon poursuivant se trouve à ma hauteur, je me jette dessus sans hésiter. Je réalise bien vite que c’est une femme et qu’elle sait ce défendre. Je suis rapidement désarmée comme elle l’est aussi, mais je m’éloigne d’elle et roule loin pour récupérer mon arme le pointant directement sur elle. « Je vais te donner une seule chance de répondre. Qui es-tu et pourquoi tu me suis ? » Je n’ai pas du tout envie de tirer, mais je ne vais pas me laisser abattre facilement. Le court combat que nous avons eu me mettait sur les nerfs. Cette femme avait une manière de se battre qui me rappelait bien trop celle d’une veuve, mais je ne voulait pas croire qu’il y en avait une autre dans cet endroit surtout si elle venait après moi. Puis, soudainement, son visage devient clair pour moi et je fus pris d’un choc. « Yelena? Это ты младшая сестра? » Je n’avais pas vu son visage depuis plus de cinq ans, mais bon sang, je me souvenais d’elle tout de même. Je ne l’avais jamais oublié. J’avais apporté son souvenir partout avec moi depuis que je m’étais réveillé. Mon arme est toujours pointée vers elle, mais j’ai baissé le canon vers le sol.
Traduction : C’est toi petite soeur?
Enfin bref, cet homme était d’un narcissique qui ferait passer Tony Stark pour un enfant de cœur. Il prenait un malin plaisir à faire de la vie de ses employés un vrai calvaire de toute manière possible, ce qui me donnait encore plus envie de le pendre au bout d’une corde à la fin. Je ne vous parle pas de ses manières avec son assistante. La pauvre femme ne méritait clairement pas d’être traîté ainsi. Encore un autre homme qui pense qu’une belle femme ne peut pas être chose qu’être un fichu trophée à un bras. Je m’étais donc tapé de le suivre dans un terrain désagréable sous la pluie sans parapluie parce que j’aurais sans doute attirer l’attention sinon. Ce fut assez facile au final de pouvoir obtenir ce que j’avais de besoin afin de faire un plan pour me débarrasser définitivement de ce sale type. S’il pensait pouvoir s’en sortir sans punitions, il se mettait le doigt profondément dans l'œil. Mon retour dans les locaux qui me servait de façade pour mon entreprise mais aussi comme maison avait été rempli de grognements et de plusieurs regards qui voulait clairement dire de ne pas m’approcher au risque de se faire mordre. J’étais de mauvaise humeur et pas un peu. J’avais délaissé mes habits professionnels pour quelque chose de plus simple.
Pour combler le tout de cette si belle journée, j’avais dû faire la file pendant un bon moment pour pouvoir me procurer un café chaud. Je m’étais retrouvé avec la mauvaise commande, deux fois plutôt qu'une, et mon prénom écrit n’importe comment. C’était le signe que je devais retourner chez moi avant de tirer sur quelqu’un pour une connerie quelconque. Ça aurait pu finir là, mais non. La vie aime bien m'emmerder aujourd’hui il faut croire. J’ai soudainement eu un sentiment que je n’avais pas eu depuis longtemps. Le sentiment familier d’être observé par quelqu’un voir même suivit alors que je me promenais dans la foule. C'était la première fois depuis bien des années, depuis que j’étais en pleine cavale après le gâchis de Tony et Steve. D’un côté, je suis rassuré de savoir que mes sens sont toujours aussi alertes, mais d’un autre, je n’aime pas du tout l’idée que quelqu’un pense pouvoir me suivre sans que je m’en rende compte. Amateur. J’ai beau être une veuve à la retraite, si on peut l’appeler ainsi, je suis toujours une veuve malgré tout.
Alors que je marche dans la foule, je lève la capuche de mon manteau dans une tentative de m'obscurcir le visage tout en me protégeant de la pluie qui a commencé à tomber. Les habitudes d'une ancienne espionne refont surface comme une seconde pas alors que je marche d’un pas contrôler tout en évitant gracieusement d’entrer dans qui que ce soit afin de ne pas perdre mon avance sur la personne qui me suit. Il me faut plusieurs minutes avant de trouver ce qui me semble l’endroit idéal pour me faufiler en sachant très bien que cette personne me verrait y aller et va me suivre. Je suis un peu évidente, mais juste un peu. Il faut bien que je lui donne une chance de me suivre si je veux pouvoir le, la, les face à face. Je me déplace rapidement dans la ruelle, prend un escalier de secours pour monter au dernier étage où j'ai repéré une fenêtre ouverte. Je connais assez le quartier pour savoir que cet immeuble en particulier est connu pour être un squatte de sans abris et donc vide de toute personne sauf des clochards qui se sauveront comme des souris si confrontation il y a. Le dernier étage est sombre et rempli de recoins, de toiles et d’objets en tout genre laissés là par les anciens résidents. Parfait. C’est un bon nombre d'objets derrière lequel je peux me cacher.
Sans attendre, je me glisse le long d’un mur sortant l’arme de poing que je porte toujours sur moi. Je préfère être trop prudente que pas assez. J’entends de très faibles pas. Peu importe qui me suit, cette personne sait être discrète et il ou elle n’est pas à prendre à la légère. Ce qui me rend quelque peu nerveuse. Ça hurle emmerde tout ça. J’essaye de rester alerte tout en tentant de voir les options de sortie. Une autre fenêtre, risqué, mais faisable surtout que le bâtiment d’à côté n’est pas si loin. Un escalier pour le second étage est aussi à considérer. Deux options, c’est toujours mieux que rien. Je contrôle ma respiration tout en écoutant et restant complètement alerte. Dès le moment où mon poursuivant se trouve à ma hauteur, je me jette dessus sans hésiter. Je réalise bien vite que c’est une femme et qu’elle sait ce défendre. Je suis rapidement désarmée comme elle l’est aussi, mais je m’éloigne d’elle et roule loin pour récupérer mon arme le pointant directement sur elle. « Je vais te donner une seule chance de répondre. Qui es-tu et pourquoi tu me suis ? » Je n’ai pas du tout envie de tirer, mais je ne vais pas me laisser abattre facilement. Le court combat que nous avons eu me mettait sur les nerfs. Cette femme avait une manière de se battre qui me rappelait bien trop celle d’une veuve, mais je ne voulait pas croire qu’il y en avait une autre dans cet endroit surtout si elle venait après moi. Puis, soudainement, son visage devient clair pour moi et je fus pris d’un choc. « Yelena? Это ты младшая сестра? » Je n’avais pas vu son visage depuis plus de cinq ans, mais bon sang, je me souvenais d’elle tout de même. Je ne l’avais jamais oublié. J’avais apporté son souvenir partout avec moi depuis que je m’étais réveillé. Mon arme est toujours pointée vers elle, mais j’ai baissé le canon vers le sol.
Traduction : C’est toi petite soeur?
Laueee
[ Road of forgiveness is painful ]
Yelena Belova
MCU
Age du personnage : 30
Côté Coeur : N'est pas insensibles aux charmes d'une certaine archère, mais ne comprend pas ce que c'est ce sentiment (ces journées et nuits sont de toutes façons déjà bien remplis)
Localisation : Centre-ville
Emploi/loisirs : Détective privée le jour / Tueuse à gages la nuit
Messages : 367
Points rp : 201
Date d'inscription : 31/12/2022
Côté Coeur : N'est pas insensibles aux charmes d'une certaine archère, mais ne comprend pas ce que c'est ce sentiment (ces journées et nuits sont de toutes façons déjà bien remplis)
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par Yelena Belova Sam 7 Jan - 14:53Years past, but i still remember you
feat. @Natasha Romanoff
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Tandis que le jour se lève, je suis déjà debout et prête à aller travailler. Il y a quelques jours de cela, j’ai été approché par un homme désirant bénéficier de mes services en tant que détective privé. Je n’ai pas encore eu beaucoup d'affaires depuis mon arrivée en ville, il y a maintenant un mois , presque deux en faite, mais comme ce n’est pas mon seul job, je dois admettre que je m’en sors plutôt pas mal côté finance ! Enfin bref, pour en revenir à mon client, ce dernier se plaint de recevoir des “attaques” qu’une certaine “The Siren”. Tu parles d’un nom de code… je trouve que c’est totalement pourri comme nom si vous voulez mon avis. Bien que je ne sois pas là pour juger et critiquer, je me demande si c’est vraiment le nom de code qu’elle porte où si c’est juste celui que mon client m’a donné parce qu'il ne sait vraiment rien à son sujet. J’opterai pour la seconde option, puisqu’il me demande de trouver qui elle est, son identité. Je ne sais pas trop ce qu’il fait de sa vie et je dois avouer que je m’en fiche pas mal. Ce n’est pas mon travail de savoir ce qu’il fait de ses journées. C’est un client et j’ai accepté son offre généreuse en échange de l’identité de la personne qui lui cause du tort. Une journée donc, qui s’annonce déjà remplit.
Le temps, lui, n’est pas vraiment au rendez-vous, mais il en faut bien plus que cela pour m'arrêter. C’est donc après avoir suivi la piste de cette personne, que je me retrouve non loin du lieu où justement, elle semble être en train de surveiller quelque chose ou quelqu’un. De là où je suis, je ne peux pas vraiment encore dire si c’est un homme ou une femme, puisque je suis tout de même à bonne distance, pour éviter de me faire remarquer immédiatement. Lorsqu’elle quitte son poste d’observation, je décide de la suivre, pour voir où elle va. Avec un peu de chance, ça va me mener jusqu’à chez elle où dans un endroit qu’elle a l’habitude de fréquenter et donc me donner une chance de découvrir qui elle est. Restant toujours à bonne distance, je fis ma première constatation lorsqu’elle s'arrêta pour prendre un café. Temps pendant lequel je reste planqué pour ne pas me faire remarquer. Il faut dire que pour moi, le travail de détective privée m’amuse vraiment par son côté espionnage et c’est exactement ce que je suis en train de faire actuellement. Ce qui fait que mon métier ressemble un peu trop à celui que je faisais avant.
J'en déduis donc qu'il s’agit probablement d’une femme, alors que je l'observe en attendant qu’elle est fini de commander. Une commande qui traîne en longueur, au point où pendant un instant j'ai cru m’être fait repérer trop tôt, mais rapidement, je me rend compte qu’elle semble être insatisfaite de sa commandes, à deux reprises, avant de finalement reprendre sa route. Dans la précipitation de craindre de perdre sa trace, je me suis rapidement remise à sa poursuite, la suivant sans doute d’un peu trop prêt sans m’en rendre compte, jusqu’à me retrouver dans une ruelle et de me retrouver face à un bâtiment. Quelque chose me dit qu’elle a dû grimper par l’escalier de secours, alors je fis de même. Pour aller plus vite, je grimpe directement par les barreaux, après m’y être accroché sans faire de bruit. Voyant une fenêtre ouverte, je m’y faufile furtivement. Si cette personne est quelque part, ça ne peut qu’être ici. Cette poursuite est un peu épuisante je dois l’avouer, mais il en faut plus que cela pour m’abattre et me faire renoncer. J’irai jusqu’au bout, coûte que coûte ! J’eus toutefois à peine le temps de réagir lorsque je vis l’autre femme me sauter dessus, mais ne me laisse pas faire pour autant. Je sais me défendre, alors je repousse. Elle est armé, mais je la désarme rapidement alors qu’elle fait de même avec moi. Stupide, je n’ai pas besoin d’arme pour me battre de toute manière ! Elle fut cependant plus rapide que moi pour récupérer son arme qu'elle pointe en ma direction. Comme si de rien n'était, je me baisse pour ramasser mon arme, que je pointe alors vers elle, alors que je ne vois pas encore son visage.
« Ce ne sont pas tes affaires. Tu es qui ? »
Lorsqu'elle prononça mon nom, je ne compris pas vraiment ce qu'il se passe. En tout cas, c'est bien une femme, comme je le pensais, avec des cheveux roux et un accent russe tellement mauvais… Un visage familier, bien trop familier même. Natasha ? Non, c’est impossible. Elle est morte !
« Нет, это не может быть правдой. Ты покойник. Вы можете быть здесь. ». (Non, ça ne peut pas être réel. Tu es morte. Tu ne peux pas être ici.)
Je crois réellement mal voir la personne qui est face à moi. Les morts ne reviennent pas à la vie. Je ne suis pas dans un rêve n’est-ce-pas ? J’aurai bien envie de me pincer pour me convaincre que je ne suis pas en train de devenir folle et que c’est bien ma soeur qui se trouve devant moi. Si je n’avais pas eu confirmation qu’elle était bien morte, à plusieurs reprises, alors j’aurais sans doute cru qu’on m’a manipulé, à nouveau, en me faisant croire qu’elle est morte pour m'utiliser, encore. Mais il n’en ai rien de tout ça. J’ai vu sa tombe ! Et même si Clint Barton ne m’a pas réellement expliqué comment tout cela est arrivé, notre petite conversation que nous avons eu le prouve également. Elle est morte ! Alors comment peut-elle être ici ?
Le temps, lui, n’est pas vraiment au rendez-vous, mais il en faut bien plus que cela pour m'arrêter. C’est donc après avoir suivi la piste de cette personne, que je me retrouve non loin du lieu où justement, elle semble être en train de surveiller quelque chose ou quelqu’un. De là où je suis, je ne peux pas vraiment encore dire si c’est un homme ou une femme, puisque je suis tout de même à bonne distance, pour éviter de me faire remarquer immédiatement. Lorsqu’elle quitte son poste d’observation, je décide de la suivre, pour voir où elle va. Avec un peu de chance, ça va me mener jusqu’à chez elle où dans un endroit qu’elle a l’habitude de fréquenter et donc me donner une chance de découvrir qui elle est. Restant toujours à bonne distance, je fis ma première constatation lorsqu’elle s'arrêta pour prendre un café. Temps pendant lequel je reste planqué pour ne pas me faire remarquer. Il faut dire que pour moi, le travail de détective privée m’amuse vraiment par son côté espionnage et c’est exactement ce que je suis en train de faire actuellement. Ce qui fait que mon métier ressemble un peu trop à celui que je faisais avant.
J'en déduis donc qu'il s’agit probablement d’une femme, alors que je l'observe en attendant qu’elle est fini de commander. Une commande qui traîne en longueur, au point où pendant un instant j'ai cru m’être fait repérer trop tôt, mais rapidement, je me rend compte qu’elle semble être insatisfaite de sa commandes, à deux reprises, avant de finalement reprendre sa route. Dans la précipitation de craindre de perdre sa trace, je me suis rapidement remise à sa poursuite, la suivant sans doute d’un peu trop prêt sans m’en rendre compte, jusqu’à me retrouver dans une ruelle et de me retrouver face à un bâtiment. Quelque chose me dit qu’elle a dû grimper par l’escalier de secours, alors je fis de même. Pour aller plus vite, je grimpe directement par les barreaux, après m’y être accroché sans faire de bruit. Voyant une fenêtre ouverte, je m’y faufile furtivement. Si cette personne est quelque part, ça ne peut qu’être ici. Cette poursuite est un peu épuisante je dois l’avouer, mais il en faut plus que cela pour m’abattre et me faire renoncer. J’irai jusqu’au bout, coûte que coûte ! J’eus toutefois à peine le temps de réagir lorsque je vis l’autre femme me sauter dessus, mais ne me laisse pas faire pour autant. Je sais me défendre, alors je repousse. Elle est armé, mais je la désarme rapidement alors qu’elle fait de même avec moi. Stupide, je n’ai pas besoin d’arme pour me battre de toute manière ! Elle fut cependant plus rapide que moi pour récupérer son arme qu'elle pointe en ma direction. Comme si de rien n'était, je me baisse pour ramasser mon arme, que je pointe alors vers elle, alors que je ne vois pas encore son visage.
« Ce ne sont pas tes affaires. Tu es qui ? »
Lorsqu'elle prononça mon nom, je ne compris pas vraiment ce qu'il se passe. En tout cas, c'est bien une femme, comme je le pensais, avec des cheveux roux et un accent russe tellement mauvais… Un visage familier, bien trop familier même. Natasha ? Non, c’est impossible. Elle est morte !
« Нет, это не может быть правдой. Ты покойник. Вы можете быть здесь. ». (Non, ça ne peut pas être réel. Tu es morte. Tu ne peux pas être ici.)
Je crois réellement mal voir la personne qui est face à moi. Les morts ne reviennent pas à la vie. Je ne suis pas dans un rêve n’est-ce-pas ? J’aurai bien envie de me pincer pour me convaincre que je ne suis pas en train de devenir folle et que c’est bien ma soeur qui se trouve devant moi. Si je n’avais pas eu confirmation qu’elle était bien morte, à plusieurs reprises, alors j’aurais sans doute cru qu’on m’a manipulé, à nouveau, en me faisant croire qu’elle est morte pour m'utiliser, encore. Mais il n’en ai rien de tout ça. J’ai vu sa tombe ! Et même si Clint Barton ne m’a pas réellement expliqué comment tout cela est arrivé, notre petite conversation que nous avons eu le prouve également. Elle est morte ! Alors comment peut-elle être ici ?
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par Natasha Romanoff Dim 8 Jan - 0:21Years past, but i still remember you
Yelena & Natasha
Pour dire que j’étais surprise, ça on pouvait le dire, mais je ne laissais pas pour autant tomber ma méfiance en face de la femme qui se trouvait en face de moi et qui semblait elle aussi tout aussi surprise de me voir. Yelena, ma chère petite sœur que j’avais à peine retrouver pour perdre à nouveau se trouvait en face de moi tout aussi prête à me tirer dessus que je l’étais à la faire quelques instant plus tôt alors que nous nous battions. J’avais très vite réalisé alors que nous échangions des coups que la femme en face de moi avait un entraînement bien particulier, un entrainement que seule les veuves avaient reçu et que je connaissais très bien pour l’avoir moi aussi reçu. Un adversaire de taille que je ne pouvais pas prendre à la légère. Je suis devenue très nerveuse aussitôt que j’avais réalisé qui je combattais. Je pensais être la seule veuve à être venue dans cet endroit étrange, mais il fallait croire que je me suis trompée. Ce qui me fait tout remettre en question et je n’aimais vraiment pas ça du tout. « Ce ne sont pas tes affaires. Tu es qui ? » Je l’avais repoussé hors de moi. « Vraiment? C’est toi qui me suit et c’est toi qui demande qui je suis. Tu n’as pas fait ton travail de recherche comme il se doit on dirait. » Mon ton est légèrement moqueur quand je lui répond alors qu’elle me retourne la même question quasiment que je venais de lui poser.
Cependant quand j’ai vu le visage familier de ma petite sœur en face de moi qui pointait son arme dans ma direction, je me suis figé. C’était comme un retour en arrière quand nous nous sommes revu dans cette planque pour la première fois en près de deux décennies. Mon coeur battait à toute vitesse dans ma poitrine alors que je ne la quittais pas une seconde des yeux ayant peur que le visage que je voyais disparaisse soudainement pour devenir celui d’une autre femme qui lui ressemblait simplement. Ça ne serait pas la première fois qu’une telle chose arriverait depuis que je me suis réveillé. J’avais été visité par de nombreux visages faisant partie de mon passé autant durant mes rêves que quand j’étais éveillé ce qui me faisait me demander si ce qui s’était passé lorsque je m’étais sacrifié pour la pierre n’avait pas affecté mon esprit d’une manière ou d’une autre. Se méfier de son propre esprit était la pire chose qui pouvait arriver et je me retrouvais avec ce problème. C'est bien ma chance! « Нет, это не может быть правдой. Ты покойник. Вы можете быть здесь. » Je tiens toujours mon arme fermement dans ma main alors qu’elle me répond. Je respire profondément, puis je lui offre la preuve absolue que c’est moi en produisant notre sifflet secret que nous partageons enfants. La seule personne avec qui j’ai partagé ce secret est Clint. Maria connaissait son existence, mais pas les notes exactes pour le reproduire. Je fixe mon regard dans ses yeux alors que les dernières notes meurent sur mes lèvres.
Je fais le premier pas alors que je recule doucement en levant les mains et arrêtant donc de pointer mon arme sur elle du même coup. C’est très dangereux de ma part d’agir ainsi parce que je suis très consciente que je peux me faire avoir, mais j’ai le sentiment au fond de moi que la femme en face de moi est belle et bien Yelena. « Je suis bien réelle, Yelena. Je ne sais pas comment je suis arrivé ici. À vrai dire, je ne sais pas ce qu’est cet endroit. Je me suis réveillée sans savoir où je me trouvais… » Avec des mouvements très lents, je range mon arme à ma ceinture libérant mes deux mains. Une fois que c’est fait, je m’avance vers elle comme on s'avançait vers un animal effrayé. Elle me laisse approcher assez près pour que je puisse prendre son visage entre mes mains. Sentir qu’elle est réellement là pour la première fois en plus de cinq ans me fait sourire de manière incontrôlable alors que je la regarde. Elle n’a pas changé d’un pouce alors que les cinq années où elle fut partie, j’ai beaucoup changé. Même si je ne veux pas l'avouer, j’ai aussi vieilli. Je suis certaine qu’elle peut voir à quel point je suis fatigué, fatigué de la vie qui ne fut pas du tout tendre à mon égard. « Les autres sont réussi ? Ils t’ont ramenés. Ils vous ont tous ramenés… » Je ris légèrement avant de finalement la serrer dans mes bras avec force. Je ne crois pas avoir été aussi heureuse de ma vie, enfin si je l’ai été avec Maria, mais c’est assez proche de ce que je pense être un des meilleurs moments de ma vie. Non seulement Yelena est de retour, mais ça veut aussi dire que Melina et Alexei doivent revenir en même temps qu’elle ainsi que Maria! La question maintenant est de savoir où ils sont. Est-ce qu’ils se trouvent tous dans cet endroit aussi avec nous? Si oui, comment pourrais-je les trouver? J’avais tellement de question soudainement, mais le plus important maintenant était que j’avais retrouvé ma soeur. Je ne pouvais pas ne pas en profiter. La dernière fois, je l’avais perdu. Je ne veux plus jamais revivre ce genre de douleur.
Cependant quand j’ai vu le visage familier de ma petite sœur en face de moi qui pointait son arme dans ma direction, je me suis figé. C’était comme un retour en arrière quand nous nous sommes revu dans cette planque pour la première fois en près de deux décennies. Mon coeur battait à toute vitesse dans ma poitrine alors que je ne la quittais pas une seconde des yeux ayant peur que le visage que je voyais disparaisse soudainement pour devenir celui d’une autre femme qui lui ressemblait simplement. Ça ne serait pas la première fois qu’une telle chose arriverait depuis que je me suis réveillé. J’avais été visité par de nombreux visages faisant partie de mon passé autant durant mes rêves que quand j’étais éveillé ce qui me faisait me demander si ce qui s’était passé lorsque je m’étais sacrifié pour la pierre n’avait pas affecté mon esprit d’une manière ou d’une autre. Se méfier de son propre esprit était la pire chose qui pouvait arriver et je me retrouvais avec ce problème. C'est bien ma chance! « Нет, это не может быть правдой. Ты покойник. Вы можете быть здесь. » Je tiens toujours mon arme fermement dans ma main alors qu’elle me répond. Je respire profondément, puis je lui offre la preuve absolue que c’est moi en produisant notre sifflet secret que nous partageons enfants. La seule personne avec qui j’ai partagé ce secret est Clint. Maria connaissait son existence, mais pas les notes exactes pour le reproduire. Je fixe mon regard dans ses yeux alors que les dernières notes meurent sur mes lèvres.
Je fais le premier pas alors que je recule doucement en levant les mains et arrêtant donc de pointer mon arme sur elle du même coup. C’est très dangereux de ma part d’agir ainsi parce que je suis très consciente que je peux me faire avoir, mais j’ai le sentiment au fond de moi que la femme en face de moi est belle et bien Yelena. « Je suis bien réelle, Yelena. Je ne sais pas comment je suis arrivé ici. À vrai dire, je ne sais pas ce qu’est cet endroit. Je me suis réveillée sans savoir où je me trouvais… » Avec des mouvements très lents, je range mon arme à ma ceinture libérant mes deux mains. Une fois que c’est fait, je m’avance vers elle comme on s'avançait vers un animal effrayé. Elle me laisse approcher assez près pour que je puisse prendre son visage entre mes mains. Sentir qu’elle est réellement là pour la première fois en plus de cinq ans me fait sourire de manière incontrôlable alors que je la regarde. Elle n’a pas changé d’un pouce alors que les cinq années où elle fut partie, j’ai beaucoup changé. Même si je ne veux pas l'avouer, j’ai aussi vieilli. Je suis certaine qu’elle peut voir à quel point je suis fatigué, fatigué de la vie qui ne fut pas du tout tendre à mon égard. « Les autres sont réussi ? Ils t’ont ramenés. Ils vous ont tous ramenés… » Je ris légèrement avant de finalement la serrer dans mes bras avec force. Je ne crois pas avoir été aussi heureuse de ma vie, enfin si je l’ai été avec Maria, mais c’est assez proche de ce que je pense être un des meilleurs moments de ma vie. Non seulement Yelena est de retour, mais ça veut aussi dire que Melina et Alexei doivent revenir en même temps qu’elle ainsi que Maria! La question maintenant est de savoir où ils sont. Est-ce qu’ils se trouvent tous dans cet endroit aussi avec nous? Si oui, comment pourrais-je les trouver? J’avais tellement de question soudainement, mais le plus important maintenant était que j’avais retrouvé ma soeur. Je ne pouvais pas ne pas en profiter. La dernière fois, je l’avais perdu. Je ne veux plus jamais revivre ce genre de douleur.
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Côté Coeur : N'est pas insensibles aux charmes d'une certaine archère, mais ne comprend pas ce que c'est ce sentiment (ces journées et nuits sont de toutes façons déjà bien remplis)
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par Yelena Belova Ven 13 Jan - 8:59En me lançant à la poursuite de la fameuse “The Siren”, je ne m’attendais pas du tout à tomber sur un visage bien familier. Trop familier même, puisqu’il s’agit de Natasha. Je comprends assez rapidement que la personne qui m’a embauché pour connaître son identité n’a pas la moindre idée qu’il est confronté à une Widow, à LA Black Widow en personne. C’est donc pour ça qu’il m’a donné un nom de code bien ridicule à son sujet, parce qu’il ne connaît pas le véritable. Cela me fait rire quand j’y pense, mais c’est tout de même assez pourri comme nom de code, il faut bien l’avouer ! Même si je ne comprends pas comment elle peut être vivante, même si je suis surprise de la voir ici, je suis tout de même bien contente de la voir. Sa mort fut une nouvelle bien compliquée à digérer et à gérer pour moi, au point de m’être laissé manipuler, alors que j’étais en pleine période de deuil. Mais ça, je ne peux pas lui dire ou plutôt, disons que je ne sais pas comment lui dire que j’ai failli tuer un Avenger, et pas n’importe lequel ! Je me sens tout de même profondément offensé, alors qu’elle ose me dire que j’ai mal fait mon travail. Cela doit bien ce lire dans mon regard et dans l’expression faciale que je lui montre à l’instant même, avec les yeux plissés et la bouche ouverte, d’un air de dire “comment tu oses dire ça”, alors que mon arme est toujours pointée dans sa direction. Ce sifflement est une bonne preuve qu’il s’agit bien de Natasha. C’est notre truc, qui remonte à la meilleure partie de ma vie. Même en sachant maintenant de quoi il en retourné vraiment, j’ai toujours beaucoup de mal à me dire que tout était faux. Rien n’a jamais été faux pour les yeux d’enfant et encore moins maintenant, après les liens que nous avons réussi à tisser entre nous.
« C'est précisement la raison pour laquelle je te suivais ! Je fais très bien mon boulot ! A ma façon, mais je le fais très bien ! »
Je n’aurais de toute façon pas pu deviner d’avance que ma propre sœur se cacherait sous ce masque, puisqu’aux dernières nouvelles, elle était morte ! Et les morts ne reviennent pas à la vie. Il semblerait pourtant que j’en ai la preuve contraire juste sous mes yeux. C’est quand même dingue quand on y pense. Au fur et à mesure qu’elle s’approche de moi, je consens à baisser mon arme et donc d’arrêter de la viser avec.
« Je croyais que les morts ne pouvaient pas revenir, mais je crois bien que j’ai la preuve contraire juste sous mes yeux. »
Je suis revenue en effet, mais un retour qui fut difficile. J’ai du mal à décider si je dois la remercier de m’avoir sauvé ou si je dois lui en vouloir pour m’avoir laissée seule à nouveau, les deux par son sacrifice.
« Tes copains les Avengers ? Ouais, comme tu le vois je suis de retour, donc je suppose que les autres aussi ? Tu cherches après quelqu’un en particulier où je me trompe ? »
Je ne suis loin d’être idiote, je vois bien dans son regard qu’elle pense certainement à quelqu’un en particulier, en dehors de moi. Peut-être qu’elle avait quelqu’un dans sa vie et que je ne l’ai jamais su, qui sait ? Mais maintenant que je sais que c’est elle qui est face à moi, je sais que je ne peux pas donner son identité à la personne qui la veut. Peu importe ce qu’elle fait et le tort qu’elle lui a causé, je ne vais pas balancer ma sœur pour du fric. Je la laisse faire lorsqu’elle me serre dans ses bras. Même si une partie de moi lui en veut d’être partie, je sais aussi que Natasha à certainement eux de très bonnes raisons pour s’être sacrifier. Malheureusement, une autre partie pensera toujours que j'aurais pu l’en empêcher.
« Tu sais, on va avoir un gros problème “The Siren”. On cherche à savoir qui tu es réellement et je refuse de te balancer pour du fric. Malheureusement, mon client s’attend à ce que je lui donne un nom complet. Comment règle-t-on ce souci ? Tu dois bien avoir une petite idée, puisqu’il semblerait que c’est toujours toi le héros dans l’histoire, n’est-ce-pas ? »
Bien sûr, je ne peux pas passer à côté de l'occasion de lui faire savoir de quel nom on l'a affublé.
« C'est précisement la raison pour laquelle je te suivais ! Je fais très bien mon boulot ! A ma façon, mais je le fais très bien ! »
Je n’aurais de toute façon pas pu deviner d’avance que ma propre sœur se cacherait sous ce masque, puisqu’aux dernières nouvelles, elle était morte ! Et les morts ne reviennent pas à la vie. Il semblerait pourtant que j’en ai la preuve contraire juste sous mes yeux. C’est quand même dingue quand on y pense. Au fur et à mesure qu’elle s’approche de moi, je consens à baisser mon arme et donc d’arrêter de la viser avec.
« Je croyais que les morts ne pouvaient pas revenir, mais je crois bien que j’ai la preuve contraire juste sous mes yeux. »
Je suis revenue en effet, mais un retour qui fut difficile. J’ai du mal à décider si je dois la remercier de m’avoir sauvé ou si je dois lui en vouloir pour m’avoir laissée seule à nouveau, les deux par son sacrifice.
« Tes copains les Avengers ? Ouais, comme tu le vois je suis de retour, donc je suppose que les autres aussi ? Tu cherches après quelqu’un en particulier où je me trompe ? »
Je ne suis loin d’être idiote, je vois bien dans son regard qu’elle pense certainement à quelqu’un en particulier, en dehors de moi. Peut-être qu’elle avait quelqu’un dans sa vie et que je ne l’ai jamais su, qui sait ? Mais maintenant que je sais que c’est elle qui est face à moi, je sais que je ne peux pas donner son identité à la personne qui la veut. Peu importe ce qu’elle fait et le tort qu’elle lui a causé, je ne vais pas balancer ma sœur pour du fric. Je la laisse faire lorsqu’elle me serre dans ses bras. Même si une partie de moi lui en veut d’être partie, je sais aussi que Natasha à certainement eux de très bonnes raisons pour s’être sacrifier. Malheureusement, une autre partie pensera toujours que j'aurais pu l’en empêcher.
« Tu sais, on va avoir un gros problème “The Siren”. On cherche à savoir qui tu es réellement et je refuse de te balancer pour du fric. Malheureusement, mon client s’attend à ce que je lui donne un nom complet. Comment règle-t-on ce souci ? Tu dois bien avoir une petite idée, puisqu’il semblerait que c’est toujours toi le héros dans l’histoire, n’est-ce-pas ? »
Bien sûr, je ne peux pas passer à côté de l'occasion de lui faire savoir de quel nom on l'a affublé.
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Natasha Romanoff
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Côté Coeur : Une certaine ancienne directrice du Shield pour ne pas la nommée.
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par Natasha Romanoff Lun 13 Mar - 20:33Years past, but i still remember you
Yelena & Natasha
Je n’avais définitivement pas perdu la main quand il s’agissait de savoir quand on me suivait. J’avais appris à la dure quand il s’agissait de ne pas faire attention à son environnement. Être toujours complètement alerte dans une foule avait été un enseignement particulièrement brutal de la chambre rouge à une certaine époque. Je ne vais pas caché que la plupart de leur enseignement était brutal voir même barbare surtout quand on sait que les élèves étaient tous des jeunes filles kidnappées dont on avait bien souvent massacrer la famille au pré à l’able afin de s’assurer que personne ne viendrait mettre leur nez dans des histoires qui ne les regardaient pas. Ma vraie mère avait été une de ces malheureuses personnes dont le seul crime avait été de ne pas accepter qu’on lui ait enlevé son enfant. Elle m’aimait assez pour tout faire pour me retrouver ce qui avait causé sa mort. J’imagine qu’on pouvait dire que ce n’était qu’un peu plus de sang dans mon livre au final. Cette idée me retournait l’estomac simplement en y pensant. Tout ce que la Red Room m’avait pris, nous avait pris simplement pour qu’un homme puisse étendre son pouvoir et dévorer le monde par ses sombres ambitions. Il n’avait jamais mérité de vivre. De toutes les montres, Dreykov était de loin un des pires que j’avais affronté dans ma vie. Même Thanos, autant que je pouvais le détester, ne me semblait pas aussi monstrueux.
Je reviens au présent alors que je me retrouve face à face avec la femme qui me suivait à qui je ne peux m’empêcher de dire qu’elle n’est pas très doué dans son travail ce qui ne lui plait apparemment pas vu ce qu’elle me répond. « C'est précisement la raison pour laquelle je te suivais ! Je fais très bien mon boulot ! A ma façon, mais je le fais très bien ! » Le me retrouve sans voix un instant parce que l’inconnue en face de moi ne l’est pas du tout. C’est une des personnes qui m’était le plus cher et qui m’avait été arraché durant le Snap. Une personne que j’avais tout donné, même ma vie, pour ramener dans ce monde parce qu’elle méritait tellement de pouvoir enfin vivre la vie qu’on lui avait enlever. Je ne peux pas m’empêcher de la toucher afin de m’assurer qu’elle est réelle. Cinq longues années à espérer un jour revoir son visage boudeur de sale gosse, cinq ans à me rendre chaque semaine à la plaque où se trouvait son nom avec ceux de nos faux parents gravés afin de pleurer en silence sa perte en plus de celle de Maria. Cinq longues années à espérer finalement récompenser par sa présence. « Je croyais que les morts ne pouvaient pas revenir, mais je crois bien que j’ai la preuve contraire juste sous mes yeux. » Je la regarde avec un sourire doux, mais clairement fatigué par les épreuves que j’ai endurer pendant son absence. « Je pourrais dire la même chose dans ton cas. Tu étais partie pendant un long moment… » Je peux sentir le souvenir du désespoir qui m’avait envahie quand je n’avais pas pu la retrouver après avoir perdu celle avec qui je partageais ma vie. J’avais eu l’impression qu’encore une fois mes faiblesses nous avaient séparer l’une de l’autre, mais pour de bon cette fois ci.
Bien entendu si elle est de retour, je me dis clairement que c’est parce que Clint a pu mettre la main sur la pierre comme le reste des Avengers sur là leur. Je ne vais pas cacher que quelque part ça me rend triste de savoir que je n’étais pas là pour la serrer dans mes bras à son retour. Je ne peux m’empêcher de me demander comme Maria a pris ma mort. J’ai l’impression encore une fois d’avoir brisé notre relation. J’avais toujours su rendre les choses difficiles entre nous alors qu’elle se montrait bien souvent trop compréhensive envers mes erreurs. « Tes copains les Avengers ? Ouais, comme tu le vois je suis de retour, donc je suppose que les autres aussi ? Tu cherches après quelqu’un en particulier où je me trompe ? » Je grimace alors. Suis-je devenu si évident que ma petite sœur à tout de suite vu et comprit qu’elle n’était pas la seule personne que je cherchais à retrouver. Je soupire alors que mon regard se déplace vers la fenêtre. La pluie tombe toujours, mais à ralenti alors que le soleil semble enfin percer les nuages. « Tu as raison… il y avait quelqu’un. Quelqu’un qui m’a beaucoup aidé quand je ne pouvais me voir que comme le monstre que Dreykov avait créé. Thanos l’avait pris … Vous étiez tous partis, Yelena. Tout disparu en poussière parce qu’on a échoué, j’ai échoué. » Je me retourne alors vers elle avec une expression profondément triste alors que je lui serre la main. « J’étais prête à tout pour vous ramener. Je t’avais promis une meilleure vie alors j’ai fais tout ce que j’ai pu pour te la donner. J’ai passé cinq ans à réparer mes torts du mieux que je le pouvais dans un monde brisé par la perte. Je devais tout faire pour toi… pour M… » Je m’arrête avant de prononcer le nom de Maria. C’est difficile de parler de la femme que j’aimais. Mon cœur saignait de son absence. Je ne suis pas prête à en parler et j’espère juste que Yelena le comprendra.
« Tu sais, on va avoir un gros problème “The Siren”. On cherche à savoir qui tu es réellement et je refuse de te balancer pour du fric. Malheureusement, mon client s’attend à ce que je lui donne un nom complet. Comment règle-t-on ce souci ? Tu dois bien avoir une petite idée, puisqu’il semblerait que c’est toujours toi le héros dans l’histoire, n’est-ce-pas ? » Le changement soudain de conversation est apprécié et m’aide à m’éloigner avant de tomber dans des souvenirs bien trop douloureux des années du Snap. La douleur était autant physique que mentale et me poursuivait partout sans relâche. Je roule des yeux quand elle prononce ce surnom idiot. J’étais très consciente qu’on m’avait affublé de celui-ci et je n’arrivais toujours pas à croire que ses idiots l'utilisaient pour me définir. Black Widow était nettement mieux. Je soupire en me frottant la tête sentant un maux revenir à la charge ce qui me fait serrer les dents pendant quelques courtes secondes. « Ils sont de loin les pires pour trouver des surnoms. J’ai sifflé une fois ou deux et me voilà nommé The Siren… Je suis contente de savoir que je compte plus que le fric pour toi. En ce qui concerne ton client, on peut régler ça assez facilement. Tu m’amènes à lui. J’ai des questions pour ce type et si je peux lui casser un bras au passage pour me venger qu’il m'ait tiré dessus il y a deux semaines, je vais le faire. » Je n’étais pas stupide, j’avais rapidement comprit qui était son client. Je me disais qu’avec l’aide de certains des gadgets que j’avais avec moi, je pourrais facilement changer mon apparence et il ne saurait jamais qui j’étais au final. Le plan parfait. Je regarde ma sœur avec un regard hanté quand elle m'appelle un héros. Je ne me suis jamais aussi senti plus loin d’être appelé un héros que dans les dernières années. « Je ne suis pas un héro, plus maintenant. Black Widow l’était et elle est morte. Ce n’est plus moi. » Lui dis-je d’une voix sombre et mon ton est définitif ce qui laisse entendre que je ne veux plus être lié au surnom de Black Widow.
Je reviens au présent alors que je me retrouve face à face avec la femme qui me suivait à qui je ne peux m’empêcher de dire qu’elle n’est pas très doué dans son travail ce qui ne lui plait apparemment pas vu ce qu’elle me répond. « C'est précisement la raison pour laquelle je te suivais ! Je fais très bien mon boulot ! A ma façon, mais je le fais très bien ! » Le me retrouve sans voix un instant parce que l’inconnue en face de moi ne l’est pas du tout. C’est une des personnes qui m’était le plus cher et qui m’avait été arraché durant le Snap. Une personne que j’avais tout donné, même ma vie, pour ramener dans ce monde parce qu’elle méritait tellement de pouvoir enfin vivre la vie qu’on lui avait enlever. Je ne peux pas m’empêcher de la toucher afin de m’assurer qu’elle est réelle. Cinq longues années à espérer un jour revoir son visage boudeur de sale gosse, cinq ans à me rendre chaque semaine à la plaque où se trouvait son nom avec ceux de nos faux parents gravés afin de pleurer en silence sa perte en plus de celle de Maria. Cinq longues années à espérer finalement récompenser par sa présence. « Je croyais que les morts ne pouvaient pas revenir, mais je crois bien que j’ai la preuve contraire juste sous mes yeux. » Je la regarde avec un sourire doux, mais clairement fatigué par les épreuves que j’ai endurer pendant son absence. « Je pourrais dire la même chose dans ton cas. Tu étais partie pendant un long moment… » Je peux sentir le souvenir du désespoir qui m’avait envahie quand je n’avais pas pu la retrouver après avoir perdu celle avec qui je partageais ma vie. J’avais eu l’impression qu’encore une fois mes faiblesses nous avaient séparer l’une de l’autre, mais pour de bon cette fois ci.
Bien entendu si elle est de retour, je me dis clairement que c’est parce que Clint a pu mettre la main sur la pierre comme le reste des Avengers sur là leur. Je ne vais pas cacher que quelque part ça me rend triste de savoir que je n’étais pas là pour la serrer dans mes bras à son retour. Je ne peux m’empêcher de me demander comme Maria a pris ma mort. J’ai l’impression encore une fois d’avoir brisé notre relation. J’avais toujours su rendre les choses difficiles entre nous alors qu’elle se montrait bien souvent trop compréhensive envers mes erreurs. « Tes copains les Avengers ? Ouais, comme tu le vois je suis de retour, donc je suppose que les autres aussi ? Tu cherches après quelqu’un en particulier où je me trompe ? » Je grimace alors. Suis-je devenu si évident que ma petite sœur à tout de suite vu et comprit qu’elle n’était pas la seule personne que je cherchais à retrouver. Je soupire alors que mon regard se déplace vers la fenêtre. La pluie tombe toujours, mais à ralenti alors que le soleil semble enfin percer les nuages. « Tu as raison… il y avait quelqu’un. Quelqu’un qui m’a beaucoup aidé quand je ne pouvais me voir que comme le monstre que Dreykov avait créé. Thanos l’avait pris … Vous étiez tous partis, Yelena. Tout disparu en poussière parce qu’on a échoué, j’ai échoué. » Je me retourne alors vers elle avec une expression profondément triste alors que je lui serre la main. « J’étais prête à tout pour vous ramener. Je t’avais promis une meilleure vie alors j’ai fais tout ce que j’ai pu pour te la donner. J’ai passé cinq ans à réparer mes torts du mieux que je le pouvais dans un monde brisé par la perte. Je devais tout faire pour toi… pour M… » Je m’arrête avant de prononcer le nom de Maria. C’est difficile de parler de la femme que j’aimais. Mon cœur saignait de son absence. Je ne suis pas prête à en parler et j’espère juste que Yelena le comprendra.
« Tu sais, on va avoir un gros problème “The Siren”. On cherche à savoir qui tu es réellement et je refuse de te balancer pour du fric. Malheureusement, mon client s’attend à ce que je lui donne un nom complet. Comment règle-t-on ce souci ? Tu dois bien avoir une petite idée, puisqu’il semblerait que c’est toujours toi le héros dans l’histoire, n’est-ce-pas ? » Le changement soudain de conversation est apprécié et m’aide à m’éloigner avant de tomber dans des souvenirs bien trop douloureux des années du Snap. La douleur était autant physique que mentale et me poursuivait partout sans relâche. Je roule des yeux quand elle prononce ce surnom idiot. J’étais très consciente qu’on m’avait affublé de celui-ci et je n’arrivais toujours pas à croire que ses idiots l'utilisaient pour me définir. Black Widow était nettement mieux. Je soupire en me frottant la tête sentant un maux revenir à la charge ce qui me fait serrer les dents pendant quelques courtes secondes. « Ils sont de loin les pires pour trouver des surnoms. J’ai sifflé une fois ou deux et me voilà nommé The Siren… Je suis contente de savoir que je compte plus que le fric pour toi. En ce qui concerne ton client, on peut régler ça assez facilement. Tu m’amènes à lui. J’ai des questions pour ce type et si je peux lui casser un bras au passage pour me venger qu’il m'ait tiré dessus il y a deux semaines, je vais le faire. » Je n’étais pas stupide, j’avais rapidement comprit qui était son client. Je me disais qu’avec l’aide de certains des gadgets que j’avais avec moi, je pourrais facilement changer mon apparence et il ne saurait jamais qui j’étais au final. Le plan parfait. Je regarde ma sœur avec un regard hanté quand elle m'appelle un héros. Je ne me suis jamais aussi senti plus loin d’être appelé un héros que dans les dernières années. « Je ne suis pas un héro, plus maintenant. Black Widow l’était et elle est morte. Ce n’est plus moi. » Lui dis-je d’une voix sombre et mon ton est définitif ce qui laisse entendre que je ne veux plus être lié au surnom de Black Widow.
Laueee
[ Road of forgiveness is painful ]
Yelena Belova
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par Yelena Belova Ven 8 Sep - 10:58Difficile de croire que Natasha se trouve belle et bien en face de moi à ce moment précis. La nouvelle de sa mort m’est parvenu jusqu’à mes oreilles après tout, ce qui m’a poussé à chercher vengeance envers la mauvaise personne. Elle semble tout autant surprise de me voir, ce que je comprends totalement. Après tout, j’ai disparu moi aussi. Ma mission de libérer les veuves restant touchées à sa fin lorsque le snap m’a fait disparaître. Tout est aller si vite pour moi, que je n’ai pas compris comment autant d’années ont pu passé pendant seulement quelques minutes. J'aurais pu ignorer tout cela, c’est vrai, mais au contraire, j’ai vite compris que quelque chose n’allait pas. Je ne pouvais pas m’être absentée pendant cinq minutes pour me rafraîchir le visage et revenir cinq ans plus tard. C’est mathématiquement impossible !
« Je sais, j’ai disparu pendant cinq ans. Je suis au courant. »
J’ai peut être beaucoup de défauts, on a peut être séparer pendant longtemps avec Natasha, mais je la connais et je sais que je ne suis pas la seule personne après qui elle cherche. Ce qu’elle me confirme assez rapidement. Je ne sais pas pour autant de qui il s’agit, mais je lui souhaite de retrouver cette personne, pour peu qu’elle soit aussi ici.
« J’espère que tu pourras retrouver cette personne alors. Je suis revenue, alors elle doit certainement être revenue également. Ce n’est pas de ta faute Nat, parfois on tombe simplement sur plus fort que soi. »
Je sais qu’elle est désolée et qu’elle aurait voulu faire mieux, mais je ne la tiens pas responsable pour ce qu’il s’est passé. Elle a donné sa vie pour nous, pour moi et ce serait injuste de lui en vouloir pour ça. Même si oui, j’aurai aimé qu’elle puisse nous ramener sans avoir à se sacrifier en retour. La vie nous a déjà assez privés de la présence de l’une et de l’autre dans nos vies, il est donc injuste qu’elle ait dû mourir pour que nous puissions vivre.
« Je sais. Je trouve simplement cela injuste que tu aies dû te sacrifier pour que ça soit rendu possible. »
Je vois bien que Nat ne veut pas en dire plus sur cette fameuse autre personne, je n’insiste donc pas. De toute manière, ce n’est pas mes affaires, non ? J’ai déjà bien assez à faire comme ça, croyez moi ! Autant donc passer à un autre sujet de conversation, qui se trouve être notre problème du moment. Tôt ou tard, mon client voudra savoir qui est donc cette femme après laquelle il m’a fait courir et je refuse de vendre Natasha. Il va donc falloir remédier à ce petit problème. Sans doute qu’elle va savoir quoi faire. C’est elle l’Avenger après tout.
« Ils ne sont vraiment pas doués. Hey ! Aucune somme d’argent ne peut être plus importante que ma sœur et la seule personne dans cette famille qui se soucie de moi. Je ne crois pas que ça soit une très bonne idée. Ça pourrait être dangereux… »
Très dangereux même et je ne veux pas prendre le risque de la perdre une seconde fois. Hors de question. Sa Black Widow est peut être un héro, mais pas la mienne. J’ai repris le nom, oui, pour lui rendre dommage, mais je suis loin d’être une héroïne. J’ai du sang sur les mains, tout comme elle, mais je ne suis pas une Avenger. Je n’ai pas sauvé le monde.
« Non, tu es là et je suis sûr qu’il te reste une partie de Black Widow en toi. Mais si tu ne veux plus l’être, alors peut être que quelqu’un peut reprendre le flambeau… mais je ne pense que quelqu’un puisse réellement t'arriver à la hauteur. Même pas moi. »
« Je sais, j’ai disparu pendant cinq ans. Je suis au courant. »
J’ai peut être beaucoup de défauts, on a peut être séparer pendant longtemps avec Natasha, mais je la connais et je sais que je ne suis pas la seule personne après qui elle cherche. Ce qu’elle me confirme assez rapidement. Je ne sais pas pour autant de qui il s’agit, mais je lui souhaite de retrouver cette personne, pour peu qu’elle soit aussi ici.
« J’espère que tu pourras retrouver cette personne alors. Je suis revenue, alors elle doit certainement être revenue également. Ce n’est pas de ta faute Nat, parfois on tombe simplement sur plus fort que soi. »
Je sais qu’elle est désolée et qu’elle aurait voulu faire mieux, mais je ne la tiens pas responsable pour ce qu’il s’est passé. Elle a donné sa vie pour nous, pour moi et ce serait injuste de lui en vouloir pour ça. Même si oui, j’aurai aimé qu’elle puisse nous ramener sans avoir à se sacrifier en retour. La vie nous a déjà assez privés de la présence de l’une et de l’autre dans nos vies, il est donc injuste qu’elle ait dû mourir pour que nous puissions vivre.
« Je sais. Je trouve simplement cela injuste que tu aies dû te sacrifier pour que ça soit rendu possible. »
Je vois bien que Nat ne veut pas en dire plus sur cette fameuse autre personne, je n’insiste donc pas. De toute manière, ce n’est pas mes affaires, non ? J’ai déjà bien assez à faire comme ça, croyez moi ! Autant donc passer à un autre sujet de conversation, qui se trouve être notre problème du moment. Tôt ou tard, mon client voudra savoir qui est donc cette femme après laquelle il m’a fait courir et je refuse de vendre Natasha. Il va donc falloir remédier à ce petit problème. Sans doute qu’elle va savoir quoi faire. C’est elle l’Avenger après tout.
« Ils ne sont vraiment pas doués. Hey ! Aucune somme d’argent ne peut être plus importante que ma sœur et la seule personne dans cette famille qui se soucie de moi. Je ne crois pas que ça soit une très bonne idée. Ça pourrait être dangereux… »
Très dangereux même et je ne veux pas prendre le risque de la perdre une seconde fois. Hors de question. Sa Black Widow est peut être un héro, mais pas la mienne. J’ai repris le nom, oui, pour lui rendre dommage, mais je suis loin d’être une héroïne. J’ai du sang sur les mains, tout comme elle, mais je ne suis pas une Avenger. Je n’ai pas sauvé le monde.
« Non, tu es là et je suis sûr qu’il te reste une partie de Black Widow en toi. Mais si tu ne veux plus l’être, alors peut être que quelqu’un peut reprendre le flambeau… mais je ne pense que quelqu’un puisse réellement t'arriver à la hauteur. Même pas moi. »
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