Entière : elle aime ou elle déteste et dit les choses comme elles sont, même si son éducation à la diplomatie lui a appris à y mettre les formes.
Colérique : poussée à bout, elle peut se mettre dans des rages dangereuses mais non plus létales comme durant son règne.
Têtue : quand elle a raison, soit tout le temps, elle ne lâche rien.
Sarcastique : elle dispose d'une langue particulièrement acérée, surtout envers ceux qu'elle méprise.
Complexe : ayant appris très jeune à dissimuler ses sentiments par la force, elle est particulièrement difficile à déchiffrer, y compris pour elle-même
Séductrice :  elle est belle, elle le sait et n'hésite pas à s'en servir si besoin.
Aimante : elle aime rarement mais, quand elle le fait, c'est totalement et pour toujours.
Dévouée : elle donne tout et se donne totalement à ceux qu'elle aime.
Travailleuse : elle n'envisage pas de ne pas faire à la perfection les tâches qui lui sont confiées, elle consacre donc beaucoup de son temps et de son énergie à son travail.
Intelligente : elle dispose d'une capacité à vite saisir les nouvelles situations et les gens, elle apprend vite, a une intuition très fine dans l'art de la magie et une culture particulièrement étendue.

Téléportation et maitrise des éléments : pyrokinésie

Que dire de mon enfance ? J'avais un père aimant mais faible, Henry, et une mère manipulatrice et sans cœur, Cora. Elle m'a dressée dès le plus jeune âge pour que j'accède au plus haut rang. Je n'avais aucun ami à part mon cheval. Quand j'avais dix-huit ans, elle a tué mon premier amour, notre palefrenier, Daniel, sous mes yeux et m'a donnée à un roi aussi vieux que mon père dont la fille, Blanche-Neige avait été la cause du meurtre de Daniel. Inutile que je vous raconte ma nuit de noces, sachez juste que Daniel et moi étions restés chastes.

C'était une puissante sorcière mais j'en suis devenue une plus puissante encore. J'ai empoisonné le roi, mon mari, et suis devenue la reine ou, plutôt, la Méchante Reine comme m'ont surnommée mes sujets, derrière mon dos, bien sûr, ils tenaient à leur vie dont je ne faisais personnellement aucun cas. J'ai tué, torturé, réduit hommes et femmes à l'état d'esclaves selon mon bon plaisir.

Pour me venger de Blanche-Neige qui avait osé se mettre en guerre contre mon royaume, j'ai jeté un sort si puissant que j'ai dû tuer mon père pour ce faire. Il a créé ma ville, Storybrooke, celle dont j'étais la maire avant Elle. Tous ses habitants sont ceux qui m'ont fait souffrir d'une manière ou d'une autre. Je les ai arrachés à la vie qu'ils menaient et les ai séparés de leur amour et de leur famille. J'ai effacé leur mémoire pour qu'ils ne puissent plus jamais retrouver le bonheur. Ils ont été condamnés pendant des décennies à ne plus jamais vieillir.

Mais, un jour, la Sauveuse est arrivée, Emma Swan, une orpheline stupide et mal fagotée qui ignorait qu'elle était la fille de Blanche-Neige et de son idiot de prince Charmant. Elle m'a ramené mon fils, Henri, dix ans, dont elle ignorait aussi qu'elle était la mère biologique avant qu'il ne parte à sa recherche à New-York. Elle a brisé le Sort et tout le monde a recommencé à me haïr, y compris mon fils. J’aurais dû la détester plus que tout et pourtant…

Depuis que je suis arrivée dans cette ville aux portes de l’enfer, j’ai repris un rôle que je connaissais bien, maire. La population y est sensiblement plus développée qu’à Storybrooke mais j’ai du personnel pour l’administratif, même s’ils ne sont pas toujours aussi performants que je le souhaiterais. Je ne vois par contre pas de grande différence entre gérer l’irruption de démons et lutter contre les monstres issus de la Forêt enchantée et de tant d’autres univers de ma vie précédente.